| |  Marins d'eau douce ! L'étonnante histoire des marins du Rhin |  | Durant près d'un demi-siècle, la Marine nationale a été présente sur le Rhin (1870, 1918-1940, 1945-1966). Cette histoire très oubliée est racontée dans un livre récent "les Forces maritimes du Rhin".
Après la défaite de l'Allemagne en 1918, la Marine se voit confier une mission de présence navale sur le fleuve. Elle participe à l'occupation de la Ruhr et à la reprise du trafic commercial, entretenant une flottille de bateaux légers entre Strasbourg et Rotterdam-Anvers. L'un des premiers responsables de ces forces maritimes sera le futur amiral Darlan. La navigation fluviale n'étant pas une mince affaire, une école de pilotage est créée à Kehl, où seront formés des pilotes capables de franchir la passe dangereuse du rocher de la Lorelei...
Après la seconde guerre mondiale, la Marine revient sur le Rhin, ainsi que sur le lac de Constance (1945-48). Là, elle participe notamment à la récupération des ingénieurs et des laboratoires de la Kriegsmarine spécialisés en acoustique sous-marine. Sur le fleuve, la Marine sa voit, très vite, confiée une nouvelle mission liée à la guerre froide : permettre le franchissement de forces terrestres en cas de conflit avec l'URSS. Durant toute ses années d'après-guerre, les nageurs de combat du commando Hubert viendront régulièrement se ré entraîner dans les eaux froides du Rhin. En 1966, cette mission de franchissement sera finalement confiée à l'arme du Génie. Exit la marine du Rhin, qui n'existe plus aujourd'hui qu'au travers de la présence d'un officier supérieur de marine à Strasbourg ayant rang de Comar. On compte aujourd'hui, tous services confondus, tout de même une cinquantaine de personnels Marine en Alsace !
Un livre paru aux Éditions Carré Blanc (35 euros), aussi passionnant qu'inattendu, très bien illustré, que l'on doit à l'amiral Georges Prud'homme, Roland Oberlé (conservateur du patrimoine) et Alain Kleimberg, officier de marine de réserve et dépositaire de cette mémoire oubliée.... |
| Le canal du Nivernais |  Introduction
Faisant partie d'un vaste réseau de plus de 8500 kilomètres de voies fluviales françaises, le canal du Nivernais est l'un des plus beaux ouvrages réalisés par l'homme pour transporter gens et marchandises entre bassins versants différents.
Construit entre 1784 et 1843, le Nivernais avait vocation à l'origine, de ravitailler Paris en bois de chauffage du Morvan par flottage entre Clamecy et l'Yonne navigable.
Projet de titan !
Mais nécessité faisant loi, cette alternative au peu performant transport par route a convaincu les comptables d'alors du bien-fondé de l'entreprise ; deux générations s'y employèrent avec un courage, une ténacité et une ingéniosité qui forcent aujourd'hui encore l'admiration.
Au-delà des ingénieurs et administratifs, quel gisement d'emplois extraordinaire fourni par un tel chantier : terrassiers, convoyeurs, carriers, tailleurs de pierre, maçons, forgerons… tout ou presque était fabriqué sur place et sur mesure.
La demande parisienne en bois devenant de plus en plus pressante, il est ensuite décidé d'y adjoindre les bûches du Bazois - toujours par flottage - en le prolongeant par une " rigole " jusqu'à l'étang de Baye.
Condorcet et quelques autres usèrent de toute leur autorité pour le faire agrandir, le rendre navigable et lui offrir enfin son statut de canal de jonction jusqu'à la vallée de la Loire.
Au final, ce ne sont pas moins de 110 écluses qui rythment ses 174 kilomètres navigables entre Decize et Auxerre, assurant la correspondance avec le fleuve majestueux, son canal Latéral, mais également Roanne et le sud de la France.
Difficile d'imaginer à notre époque, la quantité d'activités artisanales, industrielles et commerciales alimentées par cette artère vivante surnommée " le Morvan " par les mariniers.
Combien de villes et de villages a t'il largement participé à développer ?
Abandonné petit à petit par les convois de marchandises au profit du chemin de fer puis de la route, sa vocation touristique plaisancière, plus en adéquation avec le temps nécessaire à sa fréquentation, a permis d'éviter toutefois son déclassement définitif.
Dénivelés impressionnants, richesse des ouvrages, diversité des paysages traversés sont autant de perles à découvrir.
Si les navigateurs pressés en seront pour leur frais, rebutés par le nombre d'écluses, quel bonheur pour les autres qui le considèrent à juste titre comme l'un des plus beaux canaux de France.
Pour ma part, je pense que le fret par voie d'eau n'a pas dit son dernier mot dans un avenir où les énergies fossiles deviendront rares et chères en même temps que le développement durable s'imposera immanquablement à nous.
Je vous invite à découvrir ou redécouvrir ce trésor patrimonial forgé par les générations précédentes.
Aimons-le, préservons-le comme il le mérite…
Nous n'aurons pas à le regretter !
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| | Une petite interview réalisée par Radio-Morvan à propos de mon dernier ouvrage sur l'histoire du Canal du Nivernais, vous permettra sans doute d'en savoir plus. | | Cliquez Ici |
| | | Le Voyage de Captain Smith |  | Présentation de l'éditeur
La retraite évoque souvent la douceur d'un rocking chair dans une maison de campagne ou dans un appartement avec vue sur la mer. Mais pour Catherine et Gérard Bachy, la retraite, c'est la liberté, c'est la possibilité de réaliser enfin leur rêve de jeunesse : naviguer à travers le monde. Pour cela, une solution s'impose : l'achat d'un bateau. Mais les Bachy ne sont pas comme tout le monde et c'est avec un ami rencontré à New York qu'ils dessinent le fabuleux, le merveilleux Captain Smith, un voilier qui les amènera au Paradis et vous avec ! Bon Voyage !
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| Secrets de Seine |  |
A la fois guide, encyclopédie et album, «La Seine en Ile-de-France» donne les clés pour comprendre ce fleuve, ainsi que des suggestions d'itinéraires pour des moments de loisirs au fil de l'eau.
Secrets de Seine
La première partie du guide est une encyclopédie qui donne à comprendre le bassin versant de la Seine, la faune et la flore, la navigation fluviale (la ville et l'eau) et régulée (écluses et barrages), la batellerie de Seine, l'économie du fleuve, la mode du canotage et des régates, les problèmes de pollution... alors que la seconde propose la découverte de micro-sites pour des moments de loisir. Par ailleurs, 11 cartes découpent les itinéraires et le territoire de l'Ile-de-France, rive droite et rive gauche, et identifient les sites culturels à voir, les activités nautiques (canoë, avirons...), les chemins de randonnées (VTT, pédestre ou équestre...) ou encore les sites de pêche. Enfin, des zooms sur un site ou un thème permet d'en connaître tous les secrets…
La Seine en Ile-de-France», chez Gallimard, 18,50 € |
| LE DICTIONNAIRE DES MOTS NES DE LA MER |  | Cet ouvrage de Pol Corvez, sémiologue enseignant à l'université d'Angers, est le premier dictionnaire du français courant dont les termes ou expressions proviennent de la marine, mais aussi du monde marin et fluvial. Ce n'est donc pas un glossaire des termes techniques de marine. L'ouvrage met en lumière l'importance insoupçonnée de la mer et des fleuves, des activités qui leur sont liées et de l'imaginaire qui s'en inspire dans la formation du français courant : charivari, aborder, passeport, bosser, chacun de ces mots est issu du langage des marins ou des mariniers.
L'auteur analyse l'étymologie de chaque entrée, en décrit le cheminement au cours du temps, répertorie les expressions qui y sont liées, précise le sens maritime, en définit et en commente les usages dérivés, tant dans la langue classique que dans le français contemporain. Le point de vue se voulant purement descriptif, les usages familiers et argotiques sont très présents.
De nombreuses citations et expressions populaires contemporaines ~ l'humour y est rarement absent ~ illustrent les entrées.
Véritable exploration de la riche histoire de l'élaboration du français actuel, ce travail constitue aussi une découverte de l'apport des cultures maritimes du monde entier dans nos mots de tous les jours. Aux termes celtes (quai, aborder) et latins (passeport), se sont ajoutés de nombreux autres, apportés par les marins scandinaves (équipage), néerlandais (matelot), anglais (péniche), espagnols (sombrer), génois (escale). D'autres nous viennent des Arabes (goudron), voire des Arawaks des Antilles (canot), et l'on n'oublie pas les termes normands (bateau) ou provençaux (cargaison). Le Dictionnaire des mots nés de la mer répertorie plus de 400 entrées principales, et plus de 700 entrées secondaires. |
| Mariniers & Batellerie |  | La première synthèse de référence sur toute l'histoire de la batellerie.
Superbes ouvrages à ne pas manquer |
| Patrimoine fluvial |  | Si la navigation intérieure commerciale est encore active sur certains de nos fleuves, le monde des canaux a connu en quelques décennies une vraie mutation. Conçu à l'origine pour le transport des marchandises, il est aujourd'hui essentiellement mobilisé par la navigation de plaisance. Cette extraordinaire infrastructure territoriale, peut-être même la plus vaste d'Europe, forgée du début du XVIIe au début du XXe siècle, est donc appelée à s'adapter à une fonction nouvelle.
Il s'agit bien en effet d'un patrimoine, par la qualité de ses ouvrages d'art, par la beauté de ses paysages et de ses alignements d'arbres, et surtout par la mémoire de ses activités disparues. Voilà pourquoi il convient de le protéger, de le restaurer, au même titre que les monuments historiques.
La sauvegarde des canaux soulève des problèmes particuliers, car elle ne suppose pas seulement l'entretien des édifices mais aussi celui des machines hydrauliques. Un canal, ses écluses, ses déversoirs, ses maisons éclusières, ses ponts, ses souterrains, ses plantations d'alignement, ses rigoles d'alimentation et ses barrages-réservoirs ne peuvent survivre que s'ils sont en eau. Ce qui explique que leur utilisation et leur réutilisation, notamment par la navigation de plaisance, sont absolument vitales.
Si le pont-canal de Briare et les écluses du canal du Midi ont une notoriété qui dépasse nos frontières, le patrimoine fluvial reste largement à explorer. Souvent loin des villes, en dehors des grands itinéraires routiers, il est par essence un patrimoine caché. Cet ouvrage nous aide à découvrir les charmes de ses tracés au gré des reliefs et des vallées sinueuses d'une France parfois méconnue.
PINON P., LEMAITRE P. |
| Habiter une péniche |  | Acheter pas cher une péniche de commerce, et la transformer en un petit palais flottant et naviguant...
C'est un rêve qui caresse de plus en plus d'esprits. On verra avec ce livre, le premier du genre, qu'il est accessible à beaucoup.
Mais si le bateau-logement est un mode d'habitat d'une totale originalité et d'une immense séduction, il nécessite un bagage technique ainsi qu'une tournure d'esprit bien particulière fondée sur la connaissance du milieu.
Ce livre répond à toutes les questions que vous vous posez sur l'achat, le financement, l'aménagement, la vie à bord et même la conduite.
Il s'agit d'un dossier complet, accompagné de nombreux témoignages. |
| Guide Juridique du plaisancier |  | Mot de l'éditeur
Plus de trois millions de Français pratiquent les sports de plaisance chaque année et se posent de nombreuses questions sur leur responsabilité juridique. Dans un style clair et didactique, les auteurs abordent plus de cinquante thèmes qui intéressent tous les marins et les amateurs de voile : achat, location et vente des bateaux, place de port et gardiennage, assistance en mer, sécurité, responsabilité du chef de bord... Ils appuient leurs commentaires et leurs explications sur les extraits des textes officiels et la jurisprudence la plus récente. Des modèles de contrats ainsi qu'un carnet d'adresses aideront le lecteur dans ses démarches administratives.
Facile à consulter, ce guide juridique deviendra vite indispensable à tous ceux qui souhaitent naviguer en parfaite connaissance de cause. |
| Les enfants du fleuve |  | Ensuite nous arpentons la Seine cette fois-ci avec des mariniers au temps du halage. Des enfants sur les bateaux de bois nous racontent les chevaux à côté du bateau sur la Saône ou ailleurs, qui remontaient en Haute-Seine, jusqu'à Paris. Nous sillonnons la Seine avec plusieurs capitaines de remorqueurs à vapeur. D'autres capitaines, pétroliers et pinardiers, et pilotes de Seine nous entraînent dans leur sillage.
Quelques autres destins de fer: du chantier naval aux scaphandriers, de l'épicière d'écluse au bateau-lavoir.
Puis depuis la braconne des mariniers jusqu'au pêcheur professionnel et quelques garde-pêche, nous voulons tout savoir du monde mystérieux de la pêche en Seine.
Nous terminons cette promenade en écoutant des recherches dans des textes d'archives à Chatou, vers une Seine intemporelle. Puissent leurs témoignages être le meilleur plaidoyer pour le fleuve.
Auteur : Martine Delahaye
Dessins Isabelle Outin
Cet ouvrage « Les enfants du fleuve» est constitué de souvenirs recueillis au magnétophone entre 1987 et 1993 auprès d'une centaine de personnes, tout au long de la Seine comme s'il s'agissait d'un pays.
Au départ, autour de la grande île de Bougival à Bezons, nous allons à la rencontre des derniers témoins d'un passé qui enchantait nos grands-parents: La Grenouillère, chez Fournaise, chez Giquel, A l'île Fleurie. Nous nous trouvons à une époque où les hommes empruntaient une barque naturellement, où les femmes allaient laver leur linge dans la Seine et où les enfants jouaient au bord de l'eau, et rêvaient de l'île. Beaucoup d'hydravions croisent notre chemin.
Nous traquons les derniers habitants de l'île toujours aussi belle, où la part de l'imaginaire et le goût de la liberté l'emportent sur l'inconfort et l'insécurité.
De Meulan jusqu'à Suresnes, à la voile ou à l'aviron, nous nous intéressons à des champions, à des constructeurs, dans des lieux riches de l'histoire du canotage. Quelques récits de grandes baignades en Seine. |
| je me souviens du Canal Saint-Martin |  | Marie Babey : Photographe, Marie Babey habite les rives du canal Saint-Martin. C'est tout naturellement que celui-ci est devenu son grand sujet.
Auteur : Marie BABEY
Éditeur : Parigramme
Je me souviens des bateaux “montants”, blancs du sel du Midi et des bateaux “avalants”, noirs du charbon enlevé au pont de Flandre, je me souviens des “carapatas”, les haleurs aux gros bras et au gosier sec, je me souviens des coltineurs qui déchargeaient les sacs de ciment au bassin du Combat, je me souviens qu'éclusiers et mariniers allaient souvent boire un verre à la Chope des Singes ou à l'Ancre de Marine, je me souviens que l'on pouvait traverser le canal sur les portes des écluses, je me souviens que les mariniers avaient rebaptisé la compagnie HPLM (Havre-Paris-Lyon-Marseille), “Hachez-Pillez-Les-Malheureux”, je me souviens de la pêche aux écrevisses avec une épingle à nourrice…
Je me souviens que l'on patinait sur la glace les hivers de grand froid, je me souviens que la sortie des artistes de l'Alhambra donnait sur le canal, je me souviens que les bateaux n'avaient pour guides que les bouches d'aération quand ils passaient sous la longue voûte du boulevard Richard-Lenoir, je me souviens qu'on faisait de drôles de récoltes quand on vidait les bassins, je me souviens des usines, des entrepôts, des cités d'artisans qui longeaient le canal, je me souviens que le décor du canal a été entièrement reconstitué pour les besoins du tournage du film de Marcel Carné, Hôtel du Nord, je me souviens du temps où on jouait à la manille, où on chantait et où on parlait politique dans les cafés, je me souviens… du canal Saint-Martin. |
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|  | |  | | Cinq siècles de transport fluvial | | | Le transport fluvial, acheminement de marchandises mais aussi déplacement d'hommes, a joué un rôle majeur dans la vie économique et politique de notre pays. |
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| | | | Histoire des PORTS de PARIS | | | Redécouvrez la vie foisonnante des quais du Paris de l'Ancien Régime, le rêve inachevé de "Paris-port de mer", la création des grands ports industriels de banlieue et celle, plus récente, des plates-formes multimodales régionales au travers d'une synthèse magistrale et d'une iconographie largement inédite. |
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| | | | Les canaux du nord pas de calais |  | Un joli guide touristique, idéal pour accompagner une navigation sur le canal. Cartes et très nombreuses photos couleurs.
Sommaire : Introduction La Sambre a gardé son charme d'antan Le canal de St Quentin, au bon souvenir de Napoléon L'Escaut, le rêve de Charles Quint La Scarpe supérieure La Deule, mal connue, mal aimée Flandre intérieure L'Aa, au royaume de l'eau Ports et canaux de bords de mer // De la tradition aux loisirs. |
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| | | | Les canaux de bourgogne |  | Un joli guide touristique, idéal pour accompagner une navigation sur le canal. Cartes et très nombreuses photos couleurs.
Sommaire : Introduction Du défi technique à l'ouvrage d'art Le canal de Bourgogne Le canal de la Marne à la Saône Le canal du Centre Le canal de Roanne à Digoin Le canal latéral à la Loire le canal de Briare Le canal du Nivernais. |
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| | | | Le canal de Nantes à Brest |  | Un joli guide touristique, idéal pour accompagner une navigation sur le canal. Cartes et très nombreuses photos couleurs.
Sommaire : Introduction - Historique La vallée de l'Erdre De l'Erdre à la Vilaine Redon : entre terre et mer La vallée de l'Oust La rigole d'Hilvern La vallée du Blavet La vallée de l'Aulne Entre Montagnes Noires et Monts d'Arrée // L'Aulne maritime |
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| | | | La Bretagne en canaux |  | Sommaire : Introduction La canalisation de la Vilaine Escapade sur la Vilaine Le canal d'Ille-et-Rance Au fil du canal d'Ille-et-Rance Le Blavet canalisé Balade sur le Blavet Le canal de Nantes à Brest Flâneries sur le canal de Nantes à Brest Epilogue Carte Index, Bibliographie Informations pratiques.
Un joli guide touristique, idéal pour accompagner une navigation sur le canal. |
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